Bois de flûte
Si on n’est pas de bois quand faut boire à la foire, on se sent parfois aux abois question éco-anxiété, vu les montagnes de gobelets en plastique jonchant les lieux festifs. Désormais, pour boire l’âme en perce paix, le tonnelet de bois lave la conscience. Car, comme le dit si justement Jean-Jacques Peroni*: «L’homme sage doit connaître ses limites. Moi c’est simple, j’arrête de boire dès que je ne peux plus lire l’étiquette.»
Kurt Mebonn
Auteur/Autrice
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Dessinateur de presse pour La Feuille d'Avis de Courtelary, Bon pour la Tête, Le Journal du Jura, Lausanne Cités et Le Matin Dimanche.