Pas s’faire de Biel
Les francophones trustent désormais le haut du tableau du bilinguisme à 43,4 %. Selon Virginie Borel, directrice du Forum du bilinguisme, c’est parce que les Germanophones sont plus nombreux à quitter la ville qu’à la rejoindre. Façon élégante de pointer le naufrage économique de la cité du bout du Lac (de Bienne), avec ces Welsches touchours rikol et chamais trafail. Bref, le Grand Remplacement est en marche.
Kurt Mebon
Auteur/Autrice
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Dessinateur de presse pour La Feuille d'Avis de Courtelary, Bon pour la Tête, Le Journal du Jura, Lausanne Cités et Le Matin Dimanche.
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